Hommage à Jacques Brel.
Véronique Durruty, prise de vue argentique, 2011
tirage sur papier argentique brillant Kodak foramt "bijou" 14 x 20 cm , signé et numéroté sur la marge blanche devant
Edition de 5 exemplaires
tirage pigmentaire 30 cm x 40 cm sur papier Canson fine art 100% coton, signé et numéroté sur la marge blanche devant
Edition de 5 exemplaires
Autres formats possibles, dans la limite de 30 exemplaires tous formats confondus
Sur la série "Gémir n'est pas de mise":
C'est une série réalisée en Polynésie française, à Jacques Brel et en particulier à son album " Les Marquises ", treizième et dernier album studio de Jacques Brel, sorti en 1977 chez Barclay.
Installé aux ïles Marquises depuis quelques années et presque retiré de la vie publique, Jacques Brel, atteint d'un cnacer du poumon qui le ronge depuis trois ans, revient à Paris afin de travailler sur son nouvel album Les Marquises. Pisté lors de ses venues en France par les paparazzis, à cause de la rumeur qui court concernant son état de santé, il se cache dans un hôtel près de la Place de l'étoile et garde son rythme polynésien dans la capitale. Il se rend à quelques mètres de là chez son arrangeur François Rauber pour lui présenter ses nouvelles chansons, répétées rue de Verneuil chez Juliette Greco. Gérard Jouannest, fidèle compositeur et pianiste de Brel, se trouve présent à ces réunions de travail.
Les séances d'enregistrement débutent en septembre 1977 avenue Hoche, dans les studios Barclay, à huit heures du matin. Au studio B, avec un demi-poumon en moins et un second irradié, Brel n'enregistre guère plus de deux chansons par séance mais selon un rituel immuable : une prise, en direct et avec l'orchestre, comme la chanson-titre, enregistré le dernier jour des sessions. Peu après la fin des séances, Brel retourne aux Marquises, avant de revenir à Paris en juillet 1978 pour soigner son cancer qui s'aggrave et vivre ses derniers jours, jusqu'à son décès, le 9 ocotbre 1978.
Premier album de l'artiste en dix ans à contenir des chansons inédites, Les Marquises est une sorte de testament musical de Jacques Brel.
Sorti sans aucune promotion, à savoir aucune interview et pas d'envoi radio avant la mise en vente, l'album réussit à se classer à la première place des meilleures ventes d'albums, à être disque d'or en 1978 pour 100 000 exemplaires vendus et disque de platique en 1981 pour 400 000 exemplaires vendus. Le total des ventes est estimé à plus de 1,1 million d'exemplaires. ( source : Wikipedia )
La musique et les mots de Jacques Brel m'ont accompagnée de manière continuelle pendant tout ce voyage en Polynésie, aux Marquises et ailleurs. J'ai retrouvé dans ce pays la bauté pure, extrême, absolue des textes de Brel, mais aussi cette retenue, cette pudeur à l'ionverse des vahinés des cartes postales.
C'est ce que j'ai cherché à traduire dans cette série "Gémir n'est pas de mise"
Sur la photographie "Du soir montent des feux" :
Citation du morceau "Les Marquises" ( Du soir montent des feux / Et des points de silence / Qui vont s'élargissant ) , cette photo a été prise depuis l'île de Raiatea, dans l'archipel de la Société, en Polynésie française, où Jacques Brel a choisi de se poser à la fin de sa vie. Paix profonde et zénitude dans ce bleu des heures magiques du crépuscule, comme un paradis tout simple, hors du monde, hors du temps.
Oeuvre d'art d'un artiste contemporain répondant aux critères pour la défiscalisation par les entreprises (article 238 AB)
décoration / déco / équilibre / sérénité / ile / arbre / ile deserte / zen
